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Enseigner l'oral
Enseigner l'oral
Enseigner l'oral : Ressources de formation cycles 2 et 3, N. Pinel, - Genially Ici
Le jeu de l'oral (cartes) ici et sa présentation ici
Des exercices créatifs pour débrider l'oral Ici
Les pratiques de l'oral en éducation prioritaire, Genially, ici
CAREP, les pratiques de l'oral sur l'académie de Créteil ici et un dossier très complet sur le site de l'Académie de Versailles Ici
Padlet un oral des oraux, Amable ici
Enseigner l'oral padlet A. Bonnet ici
Padlet "dire cycle 2 et 3" ici
Padlet "Oral et problématisation : le débat en classe " ici
De nombreuses ressources sur l'oral sur le padlet "Ressources des formatrices de lettres "Réforme du collège" ici
Enseigner l'oral une compétence transversale Padlet ici
La conférence d'Elisabeth Bautier ici
Enseigner l'oral à l'école maternelle, Inspection Marais Ici
Etre plus à l'aise à l'oral ici
Le déroulé d'une séquence dans le secondaire, travailler l'oral en accompagnement personnalisé par des mises en situation Ici
Pearltrees Enseigner l'oral : l'oral ici
L'oral en éducation prioritaire ici
L'oral, objet de toutes les disciplines
Session de formation de formateurs sur le site de l'académie de Toulouse ici
Dès le début de leur scolarité, les élèves sont invités à être actifs dans les échanges verbaux, à s'exprimer, à écouter en cherchant à comprendre les apports des pairs, les messages ou les textes entendus, à réagir en formulant un point de vue ou une proposition. Au fur et à mesure de leur parcours scolaire, les élèves sont amenés à acquérir des connaissances et compétences langagières et linguistiques mais également à maîtriser des genres sociaux ou scolaires (conte, débat, interview, exposé, présentation orale, etc.) qui doivent faire l'objet d'un enseignement explicite et progressif. Mais le nombre de locuteurs dans une classe, la volatilité de l'oral, la gestion du temps sont autant de contraintes freinant l'enseignement de cet objet d'apprentissage.
Aider TOUS les élèves à participer à l'oral
Est-ce que dans votre classe on retrouve parfois le schéma classique ?
- Le maître / la maîtresse pose une question
- Au mieux : Les élèves qui savent lèvent le doigt, vous les interrogez, ils répondent
- Au pire : Les élèves qui savent répondent plus vite que leur ombre, avant même que quiconque ait pu amorcer un levage de doigt (ou une quelconque réflexion)
- De temps en temps : Vous interrogez un élève "au hasard" (mais pas vraiment, puisque vous essayez de choisir celui qui risque de s'endormir) et 95% du temps il est incapable de répondre car son esprit était parti à 20 000 lieues de la classe.
Si je récapitule, le nombre d'élèves réellement engagés dans le questionnement est souvent loin des 100%.
La suite Ici
A propos du Grand oral
Présentation Genially de Simon Tournerie à destination des enseignants et des élèves ici
Pistes de réflexion sur le langage
M. Houlle
Conférence ici.
Pour la maternelle
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