• Cultiver la pensée divergente des enfants

    Selon Ken Robinson, la pensée divergente n’est pas synonyme de créativité.

    Il s’agit de la capacité à :

    • adopter plusieurs points de vue dans une situation donnée,
    • imaginer un grand nombre de solutions à un même problème ou une même question,
    • voir les choses avec un autre œil que l’habitude, que les conventions sociales ou scolaires,
    • ne pas penser seulement de manière linéaire mais en faisant des connexions, des arborescences, des liens entre des idées qui n’en ont pas a priori.

    Une approche

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    La pensée design en classe

    Par Guillaume Laporte

    "Le principe du design thinking, ou pensée design en français, repose sur des principes d’innovation, de pensée divergente, mais surtout d’empathie. Cette philosophie, centrée sur l’humain, permet de résoudre des problèmes à travers la définition, l’idéation, le prototypage et les tests." Ici

     


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  • Sur le site de l'IFé

    Langues et rencontre interculturelle en éducation : loyautés, conflits, autorisations

     

    À partir de son expérience professionnelle d'enseignante auprès des EANA (Élèves Allophones Nouvellement Arrivés) et de ses recherches menées en tant qu'enseignante-chercheure, Cécile Goï a développé les problématiques liées à la confrontation des langues de l'école et des langues familiales des enfants. Elle a aussi abordé les dimensions interculturelles et la place des conflits de loyauté à l'œuvre dans les dynamiques d'autorisation à réussir des élèves allophones à l'école.

     

    Ici

     

    Conflit de loyauté : si je travaille bien à l'école, vais-je trahir mes parents ?

    Pour certains enfants, les cultures familiale et scolaire sont si différentes qu'elles peuvent conduire à un dilemme : l'enfant a l'impression de trahir les siens s'il s'approprie le savoir de l'école.

    Emilie Brouze

     

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  • Les « douces violences » au cœur du quotidien

    Schuhl Christine, « Chapitre 8. Les « douces violences » au cœur du quotidien », dans : Roland Coutanceau éd., Violences psychologiques. Comprendre pour agir. Paris, Dunod, « Psychothérapies », 2014, p. 93-99. URL : https://www.cairn.info/violences-psychologiques--9782100712380-page-93.htm  

    [...]" Seulement voilà, au beau milieu de cette aventure extraordinairement humaine, dans un souci de parfaite maîtrise, la « douce violence » vient s’immiscer dans ce qu’il y a de plus quotidien, dans ce que beaucoup verraient comme « banal ».
    Quel est donc cet oxymore, construit et défini au cœur des structures d’accueil de la petite enfance ?
    Les douces violences sont ces paroles prononcées au-dessus de la tête d’un enfant, d’un adulte, d’une personne âgée. Elles sont ces gestes et ces postures qui n’accompagnent plus, ne veillent plus sur cet autre dépendant de soi. Cet « autre » est ce tout petit enfant, cette personne malade, cet individu en situation d’apprentissage, ou bien encore cette personne âgée dépendante de nos compétences, intellectuelles, soignantes, éducatives ou émotionnelles…"

     

    Ici

     

    Les douces violences

     


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  • Recommandations pour favoriser la santé mentale des enfants pendant la pandémie de COVID-19

    Par :

     

    Chantal Camden, Université de Sherbrooke (UdeS)

     

    Elodie Hérault, Centre de recherche du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke

     

    Catherine Malboeuf-Hurtubise, Université Bishop’s

     

    Et

     

    L’équipe PRISME-COVID-19

    Depuis le début de l’année 2020, les enfants ont dû s’adapter à de nombreux changements dans les différentes sphères de leur vie (ex. : routine quotidienne en classe ou à la maison, suivis médicaux, loisirs). Afin de documenter l’impact de ces changements sur la santé mentale des enfants, une équipe d’une trentaine de chercheurs, de professionnels de la santé et de partenaires de divers organismes a mené une recherche pour synthétiser les connaissances scientifiques sur le sujet (Camden et al., 2020A). Les différentes études rapportent des inquiétudes concernant la santé mentale des enfants et des familles, particulièrement en ce qui concerne l’anxiété, l’ennui, l’irritabilité, le sommeil, entre autres.

    Ici


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